Lycéens et professeurs européens autour d’un projet ERAMUS+

Ce mercredi 6 février, j’ai eu le plaisir de rencontrer des lycéens et des professeurs d’Allemagne, d’Italie, de Lituanie, de Grèce et du Portugal. Tous rassemblés autour d’un projet Erasmus + qui porte sur la mobilité, ils étudient l’accessibilité des transports, les infrastructures ou la nécessité de réduire l’empreinte carbone dans chaque de leurs pays et en Europe.

Nous avons discuté de situations très concrètes telles que le coût du billet d’avion entre le Portugal et Bruxelles, l’installation des vélos électriques à Hambourg ou la lutte contre le réchauffement climatique. Je retiens la question pertinente d’une étudiante s’interrogeant sur les relations de l’UE avec les autres pays du monde, notamment l’Asie. La protection de l’environnement est un choix politique et c’est celui du groupe des socialistes français au Parlement européen qui en a fait sa priorité face au poids de l’argent et du commerce. Nous refusons des accords commerciaux avec le Japon ou Singapour qui sont non-contraignants en matière de développement durable.

J’ai invité ces jeunes européens à prendre part à la vie de leurs villes, de leurs pays et à l’Union européenne car ils peuvent faire une différence. La qualité de l’air qu’ils respirent ou le type de bateaux sur lesquels ils partiront en vacances dépend des choix politiques qu’ils feront dès demain.

 

Budget de l’Union 2019 : le Parlement force la main du Conseil

Communiqué de la Délégation socialiste française

Le budget 2019 adopté ce mercredi 12 décembre a fait l’objet de nombreuses tractations au terme desquelles, et après une très belle bataille, les Socialistes & Démocrates européens ont décroché un accord plus ambitieux que celui défendu par les États-membres.

À l’issue d’une procédure de conciliation budgétaire très tendue, et sur la base des dernières propositions de la Commission européenne mises sur la table le 4 décembre dernier, le Parlement européen a pu obtenir des avancées significatives de la part du Conseil, validées en Comité de représentants permanents (COREPER) en fin de semaine dernière.

« Je salue la fermeté et la détermination de notre collègue Daniele Viotti, qui ont pesé fortement dans les négociations. Le compromis arraché se traduit par un solde de 321 millions d’euros supplémentaires au total cumulés pour le budget 2019. C’est le meilleur résultat obtenu depuis dix ans. Le Parlement en codécision fait donc progresser le budget européen », explique Karine Gloanec Maurin, membre de la commission des Budgets.

« Cette somme, ajoute-t-elle, sera ventilée au bénéfice de nos priorités : emploi, jeunesse et mobilité, recherche, environnement, coopération et accueil des migrants. »

Karine Gloanec Maurin souligne par ailleurs « la prise en compte d’un partage plus juste des efforts consentis entre les États et l’Union Européenne dans le cadre de l’instrument financier de traitement des réfugiés en Turquie ».

Les Socialistes et démocrates européens ont lié leur positionnement au futur cadre financier pluriannuel 2021-2027 afin que le budget communautaire représente un pourcentage plus important du PIB des États-membres et offre davantage de flexibilité.

« Nous avons défendu l’idée d’un report des sommes non dépensées d’une année sur l’autre dans le domaine de la recherche. C’est une possibilité dont le Conseil n’a pas voulu faire usage, ce que nous dénonçons. L’article 15.3 du règlement financier de l’Union (que le Conseil lui-même a négocié dans ses termes actuels) permet ce type de redéploiement, évitant que l’argent non dépensé ne reparte finalement dans l’escarcelle des États. Néanmoins, la Commission et le Conseil ont pris acte de notre volonté d’introduire plus de souplesse dans la gestion du budget de l’Union. L’usage de l’article 15.3 sera préconisé pour le prochain cadre financier, se félicite au final l’eurodéputée.

« Si nous voulons sortir l’Union Européenne de l’immobilisme et lui donner les moyens d’agir concrètement pour l’avenir des citoyens européens, nous devons veiller à un financement fort de l’UE. Le budget 2019, dernier exercice de la mandature, est de ce fait lourd de symboles, conclut Christine Revault d’Allonnes Bonnefoy, présidente de la Délégation des socialistes et radicaux français au Parlement européen.

Mon explication de vote :

J’ai voté pour le rapport du Parlement européen sur le Budget de l’Union 2019. J’ai voté pour ce rapport qui se traduit par une hausse de 321 millions d’euros supplémentaires pour le budget 2019. J’ai voté pour ce rapport parce que ce surplus sera ventilé au bénéfice de nos priorités : emploi, jeunesse et mobilité, recherche, environnement, coopération et accueil des migrants. J’ai aussi voté pour ce rapport parce que si nous voulons sortir l’Union Européenne de l’immobilisme et lui donner les moyens d’agir concrètement pour l’avenir des citoyens européens, nous devons veiller à un financement fort de l’UE.

 

Partir en #Erasmus, pourquoi pas moi ? On en parle avec les jeunes de Seine-Saint-Denis!

Vendredi 12 octobre j’ai participé à la consultation citoyenne organisée par la direction Europe du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis sur le thème : partir en Erasmus, pourquoi pas moi ? Toute l’après-midi, de nombreux jeunes avaient travaillé sur la mobilité. La séance plénière de clôture animée par la journaliste Nora Hamadi, en présence de mes collègues Pervenche Berès et Pascal Durand, a donné lieu à une restitution où les rapporteur.e.s des ateliers ont fait part de leurs propositions pour améliorer la dispositif et nous faire part de leur expérience.

Ces témoignages ont été passionnants, de jeunes partis en Slovénie, au Royaume-Uni, ou encore aux Etats-Unis et au Canada. Les différentes prises de parole ont fait ressortir des points importants, comme le manque de communication autour des possibilités qu’offre Erasmus. Dans l’ensemble sur les aspects positifs, les participants ont largement évoqué l’enrichissement personnel d’une telle expérience. Au-delà des préjugés, Erasmus permet l’autonomisation des jeunes, le développement des capacités linguistiques et la prise de conscience du fait européen.

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Pour certains, partir à l’étranger a été difficile ; parmi les aspects plus difficiles j’ai noté : l’isolement, la barrière de la langue, sortir de sa zone de confort, le manque d’argent et la peur de l’inconnu. Dans ce contexte, je pense qu’il faut commencer par faire des voyages courts, pour s’adapter. Les nombreux jeunes que je rencontre dans le cadre du projet Lycée Ambassadeur, initié par le bureau d’information du Parlement européen, m’ont souvent fait part de leur expérience à l’étranger. Ils font généralement de nombreuses rencontres et créent des liens avec d’autres jeunes européens. La mobilité est essentielle aujourd’hui pour promouvoir le sentiment européen, c’est pourquoi je me bats auprès des sociaux-démocrates au Parlement pour que les financements pour le programme Erasmus mais aussi pour l’accès à la mobilité soient en augmentation substantielle. Même s’il y a des avancées, notamment avec le Pass Interrail qui permet de se déplacer partout en Europe, il faut réellement se concentrer sur les jeunes qui ont besoin d’un effort financier conséquent.

Awa, une jeune femme de 19 ans qui fait partie de l’Ecole de la seconde chance en Seine-Saint-Denis a fléché le manque d’activités et de propositions de voyages pour les filles. S’il est vrai que dans certains quartiers les activités proposées ne sont pas toujours adaptées à tout le monde, il faut faire en sorte que les acteurs institutionnels se développent et diffusent les témoignages sur Erasmus. Une autre jeune femme a témoigné sur les nombreux voyages qu’elle a effectués via le club de sport auquel elle appartient. Ce qui montre qu’il y a plusieurs vecteurs possibles pour se déplacer et découvrir l’Europe, l’enjeu est de développer les financements et la communication.

En conclusion j’ai rappelé qu’il fallait franchir le premier pas de la mobilité pour aller toujours loin. Au Parlement européen nous travaillons sur une augmentation du budget dédié à Erasmus afin de toucher un maximum de jeunes dans leurs études, leurs parcours professionnels et leur vie quotidienne; et j’ai proposé que la communication sur ce dispositif soit portée aussi par des jeunes en ayant déjà bénéficié et qu’ils en deviennent les Ambassadeurs !

Les Socialistes et démocrates échangent avec les étudiants Erasmus à Strasbourg

Hier soir, lors d’un événement de l’initiatve Together Europe, lancée par le Groupe des socialistes et démocrates pour organiser des journées de débat avec les citoyens sur l’avenir du projet européen, j’ai eu le plaisir d’échanger avec la « génération ERASMUS », des jeunes motivés venus des quatre coins de l’Europe.

Avec Edouard Martin, Marie Arena, Jeppe Koffod, nous avons évoqué sans détour les défis de la sociale démocratie et le besoin de reconstruire le projet européen autour de valeurs fondamentales comme les droits des femmes, l’état de droit, la liberté d’expression et la protection des droits sociaux. L’Europe n’est pas seulement un marché unique ou un projet économique mais aussi et surtout un projet social au service des citoyens.

C’est le message que j’ai voulu faire passer à cette jeune génération à qui j’ai notamment rappelé l’importance de l’engagement politique. Nous avons besoin des jeunes pour construire l’Europe de demain et je soutiendrai toujours avec détermination toutes les initiatives qui rapprochent les jeunes du projet européen.

Plan Arthuis pour Erasmus apprentis : halte à l’hypocrisie !

Communiqué de la Délégation socialiste française

Les eurodéputés socialistes et radicaux sont ceux qui avaient créé Erasmus pour les apprentis : le projet pilote a été impulsé par Catherine Guy-Quint dès 2004. C’est pourquoi nous sommes très attachés à ce programme, et particulièrement vigilants quant à son avenir.

Les chiffres sont là : Erasmus pour les étudiants bénéficient à 43 000 français par an, quand les apprentis ne sont que 6 800 à en profiter, pour des séjours de seulement deux à trois semaines.

Aussi, nous avions accueilli favorablement la mission confiée à l’eurodéputé Jean Arthuis – également président de la commission des budgets au Parlement européen – par la ministre des affaires sociales Muriel Pénicaud afin d’améliorer ce programme. Pour rappel, le Président de la République française a fixé comme objectif 15000 bénéficiaires à la fin du quinquennat.

Si nous soutenons les mesures techniques pour renforcer ce programme – dont nombre figuraient déjà dans des rapports du Parlement européen, notamment en matière de contrat de travail, de protection sociale et d’enseignement des langues – nous ne pouvons que dénoncer, une fois de plus, le double discours, l’hypocrisie quant aux moyens financiers.

Alors même que la France vient d’annoncer qu’elle souhaite diminuer le budget européen et l’utiliser prioritairement pour la défense et la sécurité, au détriment de la PAC et de la politique de cohésion donc, elle fait semblant de vouloir un triplement du budget Erasmus !

Célébrer Erasmus dans de beaux discours, c’est bien. Commander des rapports, missionner et mandater c’est sympathique. Se moquer des citoyens en signant des promesses en blanc n’est pas acceptable. Ce dossier, avec la crise migratoire, est révélateur d’un docteur Jekyll que l’exercice du pouvoir rend chaque jour un peu plus mister Hyde. Jusqu’où ?

Rencontre avec les ambassadeurs juniors du Lycée professionnel Léo Lagrange de Bondy

Le vendredi 12 mai, je suis allée à la rencontre d’un nouveau groupe d’élèves porteurs du projet « Ecole Ambassadrice » initié par le bureau d’information du Parlement européen. A cette occasion, le lycée Léo Lagrange de Bondy, en Seine-Saint-Denis, a organisé une journée européenne en mettant en place un grand dispositif pour remettre l’Europe au cœur de leur système éducatif. Aux côtés d’Isabelle Coustet, Cheffe du bureau du Parlement européen à Paris, j’ai rencontré une équipe éducative dynamique et déterminée à faire de l’Europe un sujet primordial pour tous les élèves du lycée.

La journée a commencé par la visite du point information Europe, une salle mise à disposition des élèves et qui est entièrement consacrée aux institutions européennes et aux actions menées par le lycée. Une exposition était également visible toute la journée, avec des panneaux d’informations sur les différences et les ressemblances constatées entre les 28 systèmes éducatifs européens. J’ai également pu lire dans la salle d’exposition, les témoignages des élèves qui ont participé à des voyages scolaires et des partenariats avec d’autres lycées européens, comme avec Rome ou Londres.

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Les élèves ambassadeurs m’ont ensuite offert une présentation, à travers un film et un exposé, de leur projet I2E (Itinéraire d’éducation à l’Europe) pour lequel ils s’investissent pleinement : visite de la Maison Jean Monnet, participation au Parlement européen des jeunes de Sablé sur Sarthe, jumelages avec des grandes villes européennes, création de l’association clé 12, …

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Lors de mon échange avec les élèves, j’ai dit à quel point j’étais impressionnée par leur implication dans les nombreuses actions qu’ils ont menées ; j’ai pu constater qu’il s’agissait d’un investissement quotidien et qui s’inscrit dans la durée. Par ailleurs, nous avons échangé sur plusieurs sujets européens mais j’ai tout d’abord expliqué le travail que je mène au quotidien dans le cadre de mon mandat de députée européenne. Sur Erasmus+, j’ai rappelé que c’est l’un des projets européens qui concerne tous les jeunes pour que l’Europe se concrétise via la mobilité et au-delà des frontières. Les élèves ont été particulièrement sensibles à la question du Brexit et des élections présidentielles en France ; l’occasion de rappeler mon attachement au parti socialiste français, européen et au groupe des sociaux-démocrates au Parlement avec qui je travaille au quotidien.

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La journée s’est terminée, par le dévoilement de la plaque « Ecole Ambassadrice », reçue quelques jours avant et qui félicite le lycée pour son implication dans le projet européen à destination des jeunes. J’ai également remis, avec fierté les diplômes aux ambassadeurs juniors ; des diplômes qui sont la marque de leur engagement pour l’Europe. Pour finir, nous avons célébré cette belle journée autour d’une collation ou les partenaires de l’I2E nous ont rejoint avec les parents d’élèves impliqués dans ces initiatives européennes.

30 ans, l’âge d’aller + loin pour #Erasmus !

Communiqué de la Délégation socialiste française

Le Parlement européen a adopté, aujourd’hui, un rapport sur Erasmus+. Avec plus de 2 millions de participants, plus de 50 000 projets et environ 175 000 organisations, Erasmus+ est un programme européen phare qui fête cette année ses 30 ans. Doté de 16 milliards d’euros pour 2014-2020, dont 1,12 milliard à l’Agence française, Erasmus + a vu son enveloppe augmenter de 40 %.

A l’issue de ce vote, les eurodéputés socialistes et radicaux ont déclaré :

« Le succès d’Erasmus+ est indiscutable : ses participants affichent un taux de chômage inférieur de 23 % à leurs pairs. Erasmus joue un rôle crucial sur l’emploi, les opportunités de carrière, la vie sociale. Et c’est le visage concret de l’Europe pour les jeunes, l’Europe qu’on aime ! ».

« Mais aujourd’hui, victime de son succès, des dossiers pourtant intéressants sont rejetés faute de budget. C’est pourquoi, nous sommes mobilisés pour mieux adapter le budget et rendre ce programme plus accessible à tous. Au-delà de la question budgétaire, nous plaidons pour plusieurs mesures de simplification, notamment de l’outil informatique utilisé pour la candidature en ligne et une traduction du formulaire de candidature dans toutes les langues officielles ».

« Pour la révision à venir d’Erasmus+, nous voulons aller plus loin, notamment en augmentant l’inclusion sociale. Erasmus+ devrait accentuer le travail sur la diversité culturelle et les projets incitant à la tolérance et à l’insertion, et ce afin de mieux lutter par exemple contre la radicalisation de certains jeunes, et lancer le nouveau programme de mobilité – « Erasmus pro » – pour permettre aux jeunes de partir en apprentissage dans un autre État membre, pour une période longue ».

« L’Europe doit se construire avec toute sa jeunesse ! ».

Présentation du projet européen AKI #Erasmus +

Lundi 30 janvier, je suis intervenue à l’Assemblée Nationale pour la présentation des travaux du projet AKI en compagnie de Claude Bartolone, président de l’Assemblée Nationale, de plusieurs opérateurs de la mobilité en France, en Europe et au Canada, de représentants français, belges, allemands et québécois, de l’agence Erasmus + et de jeunes qui ont effectué ou effectuent un projet de mobilité internationale.

Le projet AKI a pour ambition de valoriser les apprentissages transversaux développés par les jeunes lorsqu’ils effectuent un échange international. L’objectif de ce projet est de favoriser l’employabilité et l’engagement actif des jeunes et de lutter plus efficacement contre le chômage qui touche beaucoup les moins de trente ans. La mobilité à l’internationale, ouverte à tous, prend alors tout son sens car il s’agit d’un accélérateur d’opportunités, tant elle développe des compétences professionnelles, linguistiques et transversales. Des compétences transversales qui ne sont jusqu’à présent pas reconnues. C’est là que le projet AKI prend tout son sens : Le dialogue entre employeurs et jeunes en recherche d’emploi souffre alors d’un manque de compréhension réciproque. Les employeurs ne savent pas toujours identifier et reconnaître les compétences développées lors d’une mobilité et les jeunes peuvent éprouver des difficultés à mettre des mots sur leurs acquis. Pour pallier à ce paradoxe, les partenaires AKI ont construit des outils simples. Ils visent à valoriser plutôt que d’évaluer des compétences transversales développées en mobilité internationale. L’objectif est de faciliter l’accès ou le retour à l’emploi et d’encourager la citoyenneté active des jeunes.

Alors que nous fêtons cette année les 30 ans du programme Erasmus, la mobilité des plus jeunes reste un des meilleurs moyens de construire les citoyens de demain et de développer des compétences qui dépassent la formation initiale. Même si son avenir dépendra de l’utilisation qu’en feront les jeunes, les employeurs et les structures de jeunesse, le projet AKI est une démarche ambitieuse qui renforce le dialogue interculturel et favorise les échanges internationaux.

Découvrir l’Europe : en train !

Communiqué de la Délégation socialiste française

Le Parlement européen a débattu, hier soir, de la proposition d’offrir aux jeunes Européens des pass Interrail gratuits à leur 18ème anniversaire afin de leur permettre d’explorer et de mieux connaître l’Europe.

Cette idée des jeunes socialistes allemands fait son chemin et nous nous en réjouissons ! Dans le même esprit qu’Erasmus, et parce que les voyages forment la jeunesse, il s’agit de permettre à l’ensemble de la jeunesse européenne de se rencontrer, tout en dynamisant encore un peu plus le secteur ferroviaire européen. Ce débat avec la Commission européenne en session plénière du Parlement européen est une première étape que nous voulons concrétiser et transformer en une chance pour tous les jeunes Européens. Cette proposition s’inscrit parfaitement dans l’accord de Paris, en privilégiant le transport ferroviaire au routier et à l’aérien.

C’est aussi un moyen d’ancrer davantage Schengen dans la vie quotidienne : la jeunesse, toute la jeunesse, doit profiter de l’abolition des frontières ! Avec la garantie jeunesse et Erasmus +, la jeunesse reste au cœur de notre mobilisation !